PERDU. Ma vie se résume à ce mot désespérant. J’ai perdu deux mois de ma vie à noyer mon chagrin. J’ai perdu ma petite amie, Fable, la seule fille qui ait jamais compté à mes yeux. J’avais peur de la blesser en restant avec elle.

Hanté par des souvenirs qui l’empêchent de poursuivre sa relation avec Fable, Drew disparaît sans donner signe de vie. Deux mois après cette séparation, il n’arrive toujours pas à tourner la page. De son côté, Fable a trouvé un poste de serveuse dans le club branché où Drew se réunit avec ses coéquipiers les soirs de victoire. Quand il se retrouve nez à nez avec Fable, le jeune homme comprend qu’il n’a jamais cessé de l’aimer. S’il tient vraiment à elle, il devra se battre pour l’en convaincre.

Drew et Fable ne se sont pas revue depuis deux mois. Drew ne sait pas comment réparer son erreur avec Fable. Cette dernière ne sait plu où elle en est de ses sentiments pour Drew. Grâce à son nouvel emploi, Fable tombe sur Drew lors d'une soirée privée. Leur rencontre va raviver leurs sentiments qui sont toujours aussi forts.

Drew a vraiment tout pour lui mais il ne fait confiance à personne. Pas assez pour être avec la fille qu'il aime et qui croit en lui. Il affronte ses démons avec l'aide d'une psy. Fable est une fille qui a une famille détruite et qui doit subvenir à ses besoins ainsi que ceux de son frère, Owen. Ils vont tout les deux vivres des moments difficiles à cause de leurs familles respectives. Mais grâce à leur entre-aide, ils vont essayer de faire face ensemble à l'impossible.

Ce deuxième tome nous emmène dans la vérité de leur relation et ce qu'il n'arrive pas à se dire mutuellement de peur que l'autre le/la rejette. On n'en apprend pas beaucoup sur eux par rapport au premier tome à part leur amour qui a évolué.

Leur histoire est tellement mignonne grâce à leur vie cassée que l'amour coule tout seul mais avec peur.

Les intrigues autour de leurs familles respectives sont tout aussi crédible que prévisible.

Ce tome m'a plu mais il manquai sans doute un petit truc qui aurai fait la différence.